L’évasion créatrice.
La
voie de l’art s’emprunte sans lamentation, naïvement sans calcul spéculaire
vers nulle part.
Un vif élan naturellement nous pousse.
Un vif élan naturellement nous pousse.
Il
naît de l’autorité intime préverbale, répondant à la « question
pourquoi », par :
«_ parce que ! »
Sur cette voie rode un désir de comprendre, d’apprendre, mué par l’étonnement des traversées de champs inédits.
Préférence est donnée aux chemins inégaux, chaotiques, incertains, traçant des perspectives afin que corps et âme, ça se mette en mouvement, énonce, et décrive un espace/temps, une chronométrie au service d’une ébauche du monde.
En réalité, il est beaucoup moins question de viser l’acquisition d’un savoir, que d’apprendre à accueillir les offrandes du vide, car c’est là, dans l’interstice, que tout est chaque fois possible.
L’aventure de l’évasion créatrice n’induit pas qu’on se fuit.
C’est tout le contraire !
L’avance à chaque pas, propulse vers la trouvaille de soi, dessine sans complaisance la singularité de notre circonscription d’où ce que nous exprimons fait sens.
La grande loi du vivant, la seule qui alors vaille, s’exerce dans le champ constructeur du beau, tributaire de l’harmonie. Ça tient… ou pas !
Quelque soit son ampleur, chaque oeuvre figure le reflet d’une étape qui dit par où l’on passe. Comme pour le cycliste, l’arrêt devient impossible, sinon c’est la chute.
De facto, ce souci du mouvement s’avère notre familier au creux de notre discours et dans chaque acte que l’aspiration à créer ne saurait déserter.
L’extraordinaire d’une voie habitée par l’art, tient dans le fait que ça ne déserte jamais le désir, 24h/24… quoiqu’on vive ou fasse, notre concentration s’accroit comme cette fichue dimension humaine qui s’élargirait sans limite possible. Nos sens exerçant le déploiement d’une pensée aux aguets, nous a engagé vers un aller simple, sans retour.
Quiconque fréquente une personne allant toute entière sur cette voie, doit considérer son mouvement perpétuel comme tuteur de l’âme au point de ne pouvoir s’autoriser à le remettre en doute, vu que le moindre déni d’un tel principe, anéantirait la dite personne en son fond.
«_ parce que ! »
Sur cette voie rode un désir de comprendre, d’apprendre, mué par l’étonnement des traversées de champs inédits.
Préférence est donnée aux chemins inégaux, chaotiques, incertains, traçant des perspectives afin que corps et âme, ça se mette en mouvement, énonce, et décrive un espace/temps, une chronométrie au service d’une ébauche du monde.
En réalité, il est beaucoup moins question de viser l’acquisition d’un savoir, que d’apprendre à accueillir les offrandes du vide, car c’est là, dans l’interstice, que tout est chaque fois possible.
L’aventure de l’évasion créatrice n’induit pas qu’on se fuit.
C’est tout le contraire !
L’avance à chaque pas, propulse vers la trouvaille de soi, dessine sans complaisance la singularité de notre circonscription d’où ce que nous exprimons fait sens.
La grande loi du vivant, la seule qui alors vaille, s’exerce dans le champ constructeur du beau, tributaire de l’harmonie. Ça tient… ou pas !
Quelque soit son ampleur, chaque oeuvre figure le reflet d’une étape qui dit par où l’on passe. Comme pour le cycliste, l’arrêt devient impossible, sinon c’est la chute.
De facto, ce souci du mouvement s’avère notre familier au creux de notre discours et dans chaque acte que l’aspiration à créer ne saurait déserter.
L’extraordinaire d’une voie habitée par l’art, tient dans le fait que ça ne déserte jamais le désir, 24h/24… quoiqu’on vive ou fasse, notre concentration s’accroit comme cette fichue dimension humaine qui s’élargirait sans limite possible. Nos sens exerçant le déploiement d’une pensée aux aguets, nous a engagé vers un aller simple, sans retour.
Quiconque fréquente une personne allant toute entière sur cette voie, doit considérer son mouvement perpétuel comme tuteur de l’âme au point de ne pouvoir s’autoriser à le remettre en doute, vu que le moindre déni d’un tel principe, anéantirait la dite personne en son fond.
Aimer
et créer sont une et même question.
Aimer induit l’exercice d’un art, envers lequel, chacun est toujours perfectible.
Le but sera à jamais le chemin qui nous mène.
Aimer induit l’exercice d’un art, envers lequel, chacun est toujours perfectible.
Le but sera à jamais le chemin qui nous mène.
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