Et hop !
... une petite visite aux déesses-mères
histoire de réveiller un temps qui passe
par Boticelli, fait un clin d'oeil à cet art
conceptuel dont l'arrogance de la pensée
unique veut donner croire qu'il produit
du jamais fait, de l'original.
Or ces sources d'inspiration originelles
datent ni plus ni moins du XVIIème s.
avant J.C.
Etonnant, non ??????
"Le peintre, d'une longue expérience, acquiert son unique trait de pinceau". Humblement, pièce à pièce, il ajoute, retire, divise, exalté tente, reconstruit, donne à voir les effets de son insubordination, en son nom. Nomade constant, son ouvrage décrit l'espace d'un vaste territoire. De ses semailles, chante et danse la récolte de jeux de formes, de couleurs, de matières... Il ouvre et donne à voir un monde : le sien ! Catherine Catski Cisinski
vendredi, juin 09, 2006
Sous toutes ses formes et avec tous les outils, il n'est aucune toile qui ne provienne d'une recherche graphique incessante, comme si le dessin figurait une piste de lancement, une longue traversée qui s'élance vers la couleur.
Preuve que le dessin flirte avec l'écrit puisque dessiner, lire, écrire ce que tout ça donne à penser, sont des activités qui se conjuguent toujours en même temps.
Peindre ouvre ensuite la place à l'idiotie fuyant les mots et toute sémantique raisonnée par avance.
Dessiner d'un trait le mouvement, la présence de la lumière, c'est unpur travail de funambule à couper le soufle. Et pourtant, qu'est-ce que je fume alors !
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